U n e s t r a t é g i e d e c o m m u n i c a t i o n v a l o r i s a n t e
En deux décennies, le développement du numérique et la féminisation de la profession ont transformé le profil de l’entrepreneur du XXIe siècle… A la fois social et écologique, il se montre désormais particulièrement soucieux de l’environnement de ses collaborateurs afin de permettre l’épanouissement de chacun, ce qui contribue globalement à optimiser les performances.
Dans ce contexte, l’art intègre l’entreprise où il connaît un développement important. En effet, introduire l’art dans une société la transforme en lieu de vie, l’humanise, lui donne une âme. Ses bienfaits sont tels que "l’artmania" devient contagieuse. Après avoir pénétré dans un endroit harmonieux, séduisant, apaisant, quel(le) patron(ne) ne souhaiterait pas recréer une atmosphère semblable dans l’entreprise où il (elle) passe de très nombreuses heures ? Personnaliser son accueil pour se sentir bien, pour ne plus apparaître comme la femme ou l’homme d’une mono-activité mais comme une personne ouverte, curieuse de tout et cultivée devient une nécessité. N’oublions pas que l’accueil en dit long sur la politique commerciale, environnementale et sociale d’une entreprise. Or l’entrepreneur doit créer des liens privilégiés avec ses fournisseurs et acheteurs ainsi qu’avec d’autres entrepreneurs dans sa branche. Pour cela, il lui faut valoriser son image. Et l’art s’impose comme le media idéal.
De plus, en donnant du caractère à ses bureaux, il ouvre une nouvelle voie de communication ; l’installation d’une ou plusieurs œuvres d’art peut être l’occasion d’une inauguration où seront conviés les clients privilégiés et les partenaires commerciaux. Il est également possible de mentionner son soutien aux artistes sur internet, dans une newsletter ou sur sa plaquette.

M e r c i l e f i s c !
Mais faut-il être un grand connaisseur pour investir dans l’art ? Non, car chez eLovart un conseiller dédié vous guide en tenant compte de vos goûts, du cadre dans lequel vont s’insérer les œuvres et de la notoriété des artistes. De cette façon, vous serez sûr de réaliser un bon placement. Rappelons que le rapport du marché de l’art contemporain a été de + 1 400% en dix-sept ans.

Or, si l’investissement peut être très lucratif, il s’avère peu coûteux en raison des avantages fiscaux liés à l’achat d’œuvres d’art. Pour le dire tout simplement "c’est cadeau !" à condition de remplir quelques conditions peu contraignantes.
Si votre entreprise achète une œuvre originale d’artiste, vous pouvez la déduire de votre résultat imposable par fraction de valeur égale. Et ce, dès la première année d’achat puis pendant les quatre années suivantes.
Chaque fraction déduite ne doit pas dépasser la limite de 5‰ du chiffre d’affaires. Donc si vous faites 300 000 € de chiffre d’affaires, vous pouvez déduire 1 500 € par an. Sur cinq ans, cela représente une œuvre d’art à 7 500 €.*
Pour déduire l’achat d’une œuvre d’art de votre résultat, celle-ci doit être :
- acquise auprès d’un artiste vivant ;
- achetée directement à l’artiste ou par un intermédiaire du marché des œuvres d’art ;
- exposée dans un lieu accessible au public ou aux salariés de l’entreprise pendant 5 ans : hall d’immeuble, salle d’attente… à l’exclusion de vos bureaux ;
- l’exposition doit être permanente pendant les 5 années requises et non réalisée à l’occasion de manifestations ponctuelles (exposition temporaire ou festival saisonnier) ;
- le public doit par ailleurs être informé du lieu d’exposition et de sa possibilité d’accès au bien ;
- inscrite à l’actif du bilan.
Toutes les entreprises sont concernées hormis celles qui achètent les œuvres en vue de la revente (celles qui interviennent dans les transactions d’art) et les entrepreneurs individuels ou les professions libérales.
Ainsi, compte tenu des déductions fiscales et de la valorisation des œuvres, investir dans l’art constitue un excellent placement, pratiquement sans risques. Dans ces conditions, pourquoi ne pas se faire plaisir tout en apportant un mieux-être autour de soi et en valorisant son image ?
*Sources : Code général des impôts : article 238 bis AB "Déduction fiscale",
Code général des impôts, annexe 3 : article 98 A "Définition fiscale des œuvres d'art",
Bofip-impôts n°BOI-BIC-CHG-70-10 relatif aux dépenses d'acquisition d'œuvres d'artistes vivants ou d'instruments de musique
https://www.service-public.fr/professionnels-entreprises/vosdroits/F32914
http://bofip.impots.gouv.fr/bofip/1801-PGP.html