
L'alliage des toiles de Jérôme Brillat est obtenu par un savant mélange de "lâcher prise" et de technique.
Il aime introduire une part de hasard à ses œuvres ; c'est pourquoi les premières couleurs sont réparties de manière aléatoire et instinctive.
Tel le "jeu des nuages" de notre enfance, l'imagination capte des formes qui lui servent ensuite de base de travail.
Ses peintures sont à l'acrylique.
Cette matière sèche vite et lui permet de travailler de façon séquentielle et plus rapidement qu'à l'huile.
Amateur de bande dessinée, il s'inspire des œuvres d'Enki Bilal, de Guarnido ou encore de Robert Valley.
Jérome Brillat : La perspective au service de l'hyper expressivité
Né en 1974, Jérôme Brillat a grandi dans la vallée de Chevreuse, en région parisienne.
Attiré très tôt par l'art en général et l'écriture en particulier, il comprend vite que la peinture serait pour lui le meilleur moyen de retranscrire son univers et ses idées.
Jérôme Brillat est un autodidacte. Son style contemporain s'est forgé au fil du temps et de nombreuses erreurs. Il se voit comme un artisan plutôt qu'un artiste. C'est un besogneux, un chercheur d'or !
Jérome Brillat : La perspective au service de l'hyper expressivité
2013 : Prix acrylique à Longjumeau et à Schotten en Allemagne.
2018 : exposition au restaurant Kibele, Paris.
Jérome Brillat : La perspective au service de l'hyper expressivité